La grand-messe du Salon
Le salon du livre, c’est d’abord un lieu de tentations !
Mais quand on est provinciale, ça commence généralement par ça :
Et les livres, ainsi que tous ces catalogues d’éditeurs qu’on glane au passage, ben au fil des heures, c’est de plus en plus lourd !
Aller au salon du livre le lundi, traditionnellement réservé aux professionnels, c’est frustrant : bien sûr ça ressemble toujours à une méga librairie, mais les auteurs eux, sont aux abonnés absents : ils se reposent du week-end, ou se préparent à la nocturne du lendemain : bref côté rencontres et dédicaces, c’est peanuts. Bien sûr il y a bien une ou deux conférences, mais quand on a des heures de voyage, on arrive trop tard et on part trop tôt !
Alors on fait comme beaucoup de collègues ou juste de curieux : on note des titres, des noms, des références, qui sur un bout de papier, qui sur un palm … en se disant que tiens, ça se serait pas mal, mais non allez, je me suis promis d’être raisonnable.
Et je l’ai été. Voici mon butin :
Bon, j'ignore pourquoi la photo est coupée, mais il y a aussi la mort de Lara, de Thierry Consigny....
5 dont 2 pour Mosquito, et un achat France Loisirs parce que fallait bien, c'est honnête non ?