Vacances à Saint-Prix - Flamand Père & Fils
En juillet 1960, Christian, dit Kiki, était parti passé un mois de vacances à la
ferme de Pépé Marius et Mémé Marie-Louise, au fin fond de nulle part dans le Morvan. Premiers éclats de rire à la lecture de ces souvenirs, les charmes de la campagne jadis ! (À part
quelques commodités sanitaires, je pourrais presque dire que ça n’a guère changé ! les cochons, le jambon pendu au clou… passé la première rudesse, Kiki adore ces vacances-là. Cinq ans plus
tard, Kiki y retourne avec son petit frère, mais ce n’est plus pareil : Pépé Marius est mort, Marie-Louise est partie en maison de retraite, leur fille Dédette et son mari Marcel les
remplacent à la ferme. C’est plus violent, plus brutal, et pourtant… c’était le goût de l’enfance et des vacances. 25 ans plus tard, Kiki raconte toujours Saint-Prix à ses enfants qui en
redemandent.
On a tous des souvenirs de Saint-Prix ou d’ailleurs en nous, une bien jolie BD notée chez Philippe ! Un album largement autobiographique signé Flamand père et fils, Chris pour les souvenirs, Julien pour le dessin. Et en fin d’album, des photos souvenirs de l’époque.
Une BD Madeleine de Proust qu’on transmet de génération en génération, de ces bonheurs simples dont on ne se lasse pas.
Akiléos, janvier 2008, 50 pages, prix : 14 €
Ma note : 4,5/5
Crédit photo couverture : © Julien Flamand et éd. Akileos
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Petite découverte sympathique au hasard des rayons…
Mon Dieu, quel calvaire ce bouquin ! Il n’aurait pas fait partie de
Voilà typiquement ce que j’appellerais un livre « zéro risque » à
l’achat. Vous savez exactement ce que vous allez y trouver, ni plus, ni moins.
Agathe écrit une lettre à sa mère décédée depuis longtemps. 
Tout a
commencé par la pièce que j’ai vue sur scène, au théâtre municipal du Mans, par hasard, une amie m’offrait la place d’une abonnée absente ce jour-là. Je ne savais pas ce que j’allais voir, juste
que ça durait 3 heures, que l’auteur était libanais vivant au Québec, et travaillait beaucoup sur la quête de l’identité.
Cuné en a déjà très bien parlé
Ce très court roman d’Alina Reyes (52 pages, petit format) m’a laissé un sentiment
d’inachevé. Pourtant il y a matière et densité qui font une vraie histoire dans ce livre, mais pour moi encore trop d’ellipses, j’en aurais voulu plus.