L'auberge espagnole, un film de Cédric Klapisch
Le synopsis d’Allocine.fr :
Xavier, un jeune homme de vingt-cinq ans, part à Barcelone pour terminer ses études en économie et apprendre l'espagnol. Cette langue est nécessaire pour occuper un poste, que lui promet un ami de son père, au ministère des finances. Mais pour ce faire, il doit quitter sa petite amie Martine, avec qui il vit depuis quatre ans.
En Espagne, Xavier cherche un logement et trouve finalement un appartement dans le centre de Barcelone qu'il compte partager avec sept autres personnes. Chacun de ses co-locataires est originaire d'un pays différent.
Comme je suis une originale dans mon genre, j’ai vu l’auberge espagnole APRES avoir vu sa suite, les poupées russes. Et j’ai ressenti exactement la même chose : j’ai failli mourir d’ennui la première heure. J’ai eu envie de partir bouquiner. Je me suis accrochée, histoire d’essayer de comprendre en quoi ce film est un chef-d’œuvre. La deuxième heure est plus sympa, et il y a de franches tranches de rigolades avec notamment les blagues du frère de Kelly Reilly, quand il critique le colocataire allemand, ou quand il joue la parade amoureuse de la mouche ! Ah ces anglais, quel humour ! Même sentiment de malaise à la fin : c’est pas mal finalement alors pourquoi je m’ennuie toujours autant au début ? Heureusement, Kelly Reilly éclaire le film. Pour le reste, je n’ai pas vécu Erasmus, et je veux bien croire que ça y ressemble. Une impression en demi-teinte. J’ai préféré les poupées russes, si tant est qu’on puisse aimer des films pendant lesquels on s’ennuie une heure sur deux. Mais à 5,99 € sur Amazon, je n’en ai pas perdu ma chemise.