Les jardins d'Hélène

L'enfant des illusions - Kathy Hepinstall

10 Août 2006, 11:31am

Publié par Laure

Une mère de famille a du mal à se remettre du drame qui s’est déroulé à l’école de son fils. Afin de ne pas trop en dévoiler je dirai simplement qu’une petite fille y a perdu la vie, et qu’elle était la meilleure amie de son petit Duncan, âgé de 6 ans. Depuis, Martha est persuadée qu’elle doit protéger son petit garçon, l’emmener loin de cet Etat de l’Ohio où la porte est ouverte à tous les risques. Son mari la dit folle et l’encourage à voir un psychiatre, qui veut la faire hospitaliser. Elle sait bien elle, qu’elle n’est pas folle. Elle prendra la fuite dans le désert avec son fils, à plus de 1500 km, et survivra dans une grotte loin de toute vie, ou presque. Son mari, David, engagera un détective privé pour la retrouver. Ça commençait un peu trop à sentir le roman sentimental à mon goût quand je me suis lassée des descriptions de cactus et de stalactites et du choix palpitant qu’allait faire l’homme échoué dans le désert (oui y a aussi un homme amoureux). Et puis dans les 10 dernières pages, LA petite phrase, celle qui retourne toute l’intrigue. Ah elle nous a bien eus la Kathy ! J’ai avalé son livre dans la soirée, et après je n’ai pas réussi à dormir, c’est malin hein. A lire, donc, mais vous pouvez attendre une sortie en poche.

Ce livre était paru en avant-première chez France-Loisirs sous le titre Dors bien, mon petit prince (désolée je n’ai que la version allemande à vous proposer en photo, traduction littérale du français, ou inversement). L’auteur est américaine et le titre original est Prince of Lost Places.

L’avis de Clarabel : ici

France Loisirs, oct. 2004, 190 p. ISBN 2-7441-7698-2

ou l'Archipel, 2005, ISBN 2841877205, prix : 17,95 €

Traduit de l’américain par Cécile Leclère

Ma note : 3,5/5

Merci à C. pour le prêt de ce livre !

 

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Escapade nantaise

8 Août 2006, 21:05pm

Publié par Laure

Aujourd'hui, petite escapade dans la ville de Nantes.

J'en suis restée un peu sur ma faim, mais les enfants râlant dès qu'il faut aligner trois pas et la chaleur étant fatigante en début d'après-midi, ce ne fut quand même pas si mal !

Au sortir de la gare où nous a déposé un TER moderne et climatisé (chouette, on aurait pu tomber sur une vieillerie !) nous sommes allés pique-niquer dans le beau et grand parc juste en face. Il est sublime ce parc !

Tram vers le centre ville, puis promenade dans les rues. Cours Cambronne, juste avant d'entrer dans le second parc (pas terrible celui-là, désolée, Anne, en revanche les habitations qui donnent sur cette verdure sont impressionnantes !) Anne-Claire, nu pied dans ses tongs (on est toujours pied nu dans des tongs hein) a buté dans une énoorme m... de chien, et pas vraiment solide, si vous voyez ce que je veux dire. Du coup il a fallu... improviser. Saleté de clébard (ou de maitre !).  Le Passage Pommeray est très beau : nous avons flâné quelque temps chez Natures et Découvertes, où il fut difficile de résister à quelque achat (nous avons résisté !). Puis centre ville où j'ai déniché la bouquinerie d'Anne ! La patience des miens étant limitée, je n'en suis ressortie qu'avec 2 poches pour les enfants et un broché pour moi : 6,40 € au lieu de 19 € pour un livre vraiment neuf... (celui de la photo, là)

Et pendant que JB fouinait dans une boutique de jeux video d'occasion, Anne-Claire - qui avait le pied propre, passons à autre chose- a perdu une dent qui bougeait depuis quelque temps. Que d'émotions !

Visite de la cathédrale, puis alors que j'aurais aimé partir vers la gare maritime, les enfants ont opté pour le TER du retour. Mais nous aurons l'occasion sans doute d'y retourner...

Cette balade fut organisée d'une part par mon homme qui lisait le guide bleu, et Anne, l'insatiable lectrice qui m'a si gentiment conseillée par mail. Et je n'ai pas fait tout son programme !

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Les yeux bleus de Mistassini - Jacques Poulin

8 Août 2006, 08:28am

Publié par Laure

Ce livre là, dès les premières lignes, je savais que j'allais l’adorer.

Un jeune homme est attiré par la couverture d’un livre en vitrine d’une librairie du Vieux-Québec : il s’agit d’une histoire de la lecture d’Alberto Manguel. Il pousse la porte et fait la découverte d’une librairie pas comme les autres. Les livres y sont classés selon le principe du désordre absolu, les écrivains peuvent venir déposer dans les rayons leurs manuscrits non édités, les lecteurs peuvent se reposer auprès du poêle, et une pile de livres attend près de la sortie qu’on les vole facilement ! Son propriétaire, Jack Waterman, est aussi écrivain et traducteur, âgé il souffre de « la maladie d’Eisenhower » (Alzheimer). Il cherchait un commis pour le seconder, voilà un poste tout trouvé pour le jeune Jimmy. Jimmy a aussi une sœur, Mistassini, une jeune femme libre et sans attaches qui revient toujours auprès de son frère adoré. Entre ces 3 personnages va naître une relation très forte.

Transmission du savoir, le vieux Jack va apprendre la traduction à Jimmy et en faire son fils spirituel pour mieux lui léguer sa librairie. Relations entre générations, amour des livres et de la lecture, c’est un livre d’une grande douceur et d’une grande chaleur. Des mots simples, des références à Hemingway, Carver, qui sont sans doute les préférés de l’auteur. Une place particulière est réservée aussi à l’auteur québécoise Gabrielle Roy. Le vieux Jack enverra même Jimmy visiter la France (celui-ci se limitera à Paris en camionnette Volkswagen), ce qui nous vaut quelques passages amusants, car j’oubliais, le roman est aussi plein d’humour.

Les critiques que j’ai lues ici et là sur le net laissent entendre que ces personnages sont récurrents dans les romans de Poulin, que Jack est un double de l’auteur, et que la France et le Volkswagen sont présents aussi dans ses autres livres. En tout cas pour cette première lecture, c’est un vrai coup de cœur.

Une seule chose m’a gênée, c’est la relation fraternelle entre Jimmy et Miss. Extrêmement forte elle en est viscérale, mais elle est parfois d’une telle sensualité (les passages sur les caresses dans la douche, la Parenthèse à la librairie, etc.) que je la trouve limite incestueuse. Etait-ce vraiment utile ? 

 

C’est grâce au blog de Cathe que j’ai découvert ce livre, merci !

(Littérature québécoise)

Actes Sud, oct.2002, 187 p. ISBN 2-7427-4182-8, prix : 17 €

Ma note : 5/5

 

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Les grandes bourgeoises - Emmanuelle de Boysson

7 Août 2006, 12:42pm

Publié par Laure

C’est frais, féminin, léger, bref, parfait pour l’été (ou pour quand vous voulez si vous cherchez une lecture détente). Dans ce roman, une ronde de six grandes bourgeoises qui ont des soucis de femmes riches (révisez votre vocabulaire Prada et Cie) et des souvenirs de rallyes (pas les courses automobiles hein, les coteries dansantes pour jeunes filles du beau monde). Bref elles ne sont pas à plaindre et pourtant toutes sont touchantes, dans leurs faiblesses, leur prétendue supériorité et leur volonté farouche d’exister par elles-mêmes et non par la fortune de leurs maris.

Il y a Cerise, coincée et bourrée de principes mais lucide sur les absences de son mari, Philippine, qui a la manie des « sauces à part », ambitieuse et manipulatrice. Viennent aussi Iris, que ses copines trouvent trop ronde et pitoyable, un peu godiche elle se fait rouler par son amant, puis Douce, Lila et Rose. Lila rêve d’écrire un roman mais elle ne trouve pas mieux que le plagiat, puis le chantage quand sa seconde mouture est refusée. Rose enfin, l’avocate, aristocrate sans le sou, sur qui l’éducation parentale a déteint au point d’en devenir radine et économe au plus haut point. Toutes auront un amant avec qui elles connaîtront plus de déboires que de plaisir, adultère qu’elles auront choisi peut-être par simple lassitude d’être perpétuellement trompées par leurs maris. Un fil conducteur relie l’histoire de ces six amies qui s’aiment autant qu’elles se détestent : une bague en émeraude qui passera de l’une à l’autre par le biais de l’intrigue bien menée. On pense à Desesperate Housewives, à la pièce montée de Blandine Le Callet, on sourit souvent de ce milieu prétentieux et snob dont l’auteur se moque gentiment. On se retrouve aussi un peu parfois dans ces portraits ou ces désirs intérieurs. Je ne suis pas une habituée de Madame Figaro, mais j’ai bien aimé ce roman !

PS : je crois que Tatiana avait parlé de ce roman mais je ne réussis pas à retrouver son article...

JC Lattès, avril 2006, 247 p. ISBN 2-7096-2740-X, prix : 15 €

Ma note : 4/5

 

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Le temps du repos

6 Août 2006, 16:20pm

Publié par Laure

A mon tour d'afficher un blog en vacances !

Pas de grands départs cette année, pas de train pas d'avion pas de valises qu'on peine à fermer, mais n'en espérez pas pour autant 3 ou 4 mises à jour quotidiennes sur ces jardins, j'ai bien l'intention de bouger un peu dans ces vacances sur place !

Et puis nous chargerons quand même la voiture pour 10 jours dans le Sud-Ouest, chez belle-maman, à la fin du mois, je vous préviendrai avant le départ.

Pas de programme de lectures, parce qu'une fois encore j'ai choisi plus de livres que je ne peux en lire, parce que j'en ai chez moi plus que je ne peux en ranger sur les étagères et qui attendent aussi d'être lus, parce qu'il y a aussi tous ceux prêtés qu'il faudrait que je rende, alors vous découvrirez mes choix non encore définis au petit bonheur la chance.

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Garfield 2, un film de Tim Hill

5 Août 2006, 13:53pm

Publié par Laure

une soirée sans surprise pour ces aventures de Matou à poils roux : pas de débordement de passion, ni de grosse déception, ça se laisse voir. Le scénario est classique et attendu, mais on rit quand même à des gags tellement gros que... Une détente familiale comme il en faut pour faire plaisir à ses enfants. Constance n'a pas tout compris à l'histoire, elle préfère Bambi, c'est certain !

Sinon, j'avais oublié de vous parler de ça :

Ben pas grand-chose à en dire : que c'est long 2h30 ! et la fin est franchement ridicule (enfin, identique au roman mais bon...). C'est assez plat comme film finalement, pour un thriller, ça manque de souffle. Il me semblait avoir vécu plus d'intensité en lisant le bouquin, y compris au niveau de la relation entre les deux personnages principaux. (Tom Hanks- Pr Langdon  et Audrey Tautou - S. Neveu). Mais pourquoi je suis allée voir ça moi ? (ben à vrai dire parce qu'il y avait pas grand-chose d'autre non plus, et que je voulais sans doute profiter d'une dernière soirée sans les enfants pour sortir sans soucis de baby-sitting). Bref, on peut passer son chemin sans problème.

Et si malgré tout vous y allez, évitez ensuite d'aller demander à votre bibliothécaire si elle n'aurait pas un livre où on peut voir la cène de Da Vinci. (vécu !). Cherchez en histoire de l'art, histoire de la peinture ou au rayon encyclopédies, vous trouverez.

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Mauvaise nouvelle - Edward St Aubyn

5 Août 2006, 08:44am

Publié par Laure

Ce titre est le second de la trilogie et fait suite à Peu importe, dont j’ai déjà parlé ici Si j’avais trouvé le premier dérangeant, le second est plutôt lassant.

Patrick Melrose est devenu adulte, il prend l’avion pour New York où il doit récupérer les cendres de son père défunt. La mort de son père, c’est pour lui une excellente nouvelle au vu de l’enfance qu’il lui a fait vivre. On ne sait rien du personnage depuis qu’on l’a quitté à 5 ans dans Peu importe, si ce n’est qu’il est devenu drogué, flirtant continuellement avec la mort. Il se jure d’arrêter et bien sûr il replonge à peine l’avion atterri. Mauvaise nouvelle, c’est 200 pages de descriptions de fixes, de seringues, de sniff, de coke, d’héroïne, de mélanges ou d’enchaînements, de réactions corporelles ou mentales (j’avoue, j’ai sauté quelques pages de délire vers le milieu), bref, on apprend le nom de substances et d’effets que je n’aurais même pas imaginé exister, mais il ne se passe pas grand-chose d’autre, et ça c’est un peu agaçant. Quelques scènes d’humour très noir vers la fin, quand il court sur les boulevards et que les passants se heurtent à son père (la boite de cendres qu’il trimballe sous le bras, ce n’est même pas une urne), ou quand un serveur donne un coup de pied dedans au restaurant. Le livre s’achève sur le retour vers Londres.

J’attendais une suite du premier, c’est-à-dire l’évolution du personnage dans sa famille exécrable, et c’est très différent. Encore que. L’auteur fait un grand saut en avant, et décrit le quotidien d’un camé friqué. C’est bien une évolution du personnage ça ! Dérangeant et agaçant, voilà bien la description de ce roman, adjectifs identiques à ceux employés pour le premier volume. Je me garde le 3ème pour les vacances !

Cet extrait (p.167) : "Au moment où il atteignait la Soixante et unième Rue, il réalisa que, pour la première fois, il avait passé plus de dix minutes seul avec son père [les cendres qu'il trimballe sous le bras] sans se faire enculer, frapper ou insulter. Le pauvre homme avait dû depuis quatorze ans s'en tenir aux coups et aux insultes et, depuis six ans, aux insultes seules."

Ce passage est à la fois terrifiant et génial (oh shocking, but excellent, comme disait Tat's). Il est le plus représentatif du style de St Aubyn et à mon avis le meilleur passage de ce livre. Hélas, le seul aussi.

 

 

 

Balland, janv.1996, 204 p. ISBN 2-7158-1101-2

Existe en poche.

Ma note :2,5/5

 

 

 

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Quand la lecture devient voyage

4 Août 2006, 14:07pm

Publié par Laure

Je profite de l’été un peu plus creux au travail (pas d’accueils de classes !) pour lire enfin quelques livres professionnels. Je ne vais donc pas vraiment parler de ce livre qui n’intéressera que les bibliothécaires et les enseignants, mais j’en garderai juste quelques notes pour mémoire. Ce livre propose de monter une animation intéressante (le fameux voyage-lecture) dans un partenariat intéressant avec les enseignants, plaçant l’enfant au cœur de la lecture, en dehors des productions écrites obligatoires ou rasoirs, et nous sortant nous, bibliothécaires de notre rôle parfois énervant de simples fournisseurs de l’éducation nationale.

Bref ce livre m’a remis du baume au cœur, ne serait-ce qu’en rappelant que malgré tout notre bon vouloir, nous en oublions trop souvent que notre tâche principale devrait d’abord être, pour devenir de bons passeurs, conseillers, médiateurs ou initiateurs du livre, la lecture ! C’est tout bête mais à force de pédaler au quotidien le nez dans le guidon parce qu’il faut bien avancer et parce qu’on nous en demande toujours plus (trop ?), on en oublie aussi que parfois ça fait du bien de se poser pour réfléchir un peu à ce que l’on fait ! (et on ne lit jamais au travail !)

Si monter un voyage lecture demande un gros investissement  (en temps et en concertation) au départ, il me semble pour le moins passionnant et payant en retour.

Si d’ailleurs vous avez idée de titres de romans pour des enfants de CM1-CM2 (9-10 ans) sur le thème de la mer, n’hésitez pas à me laisser un commentaire (parce que je trouve toujours vos idées meilleures que les miennes !!)

Le voyage-lecture, bibliothèques et écoles associées, ou comment vivre avec douze livres une histoire commune de lecture, par Véronique-Marie Lombard

Ed. Du Cercle de la Librairie, sept.2003, 93 p. ISBN 2-7654-0865-3, prix : 25 €

Ma note :4,5/5

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Des livres et des chats, encore

2 Août 2006, 20:33pm

Publié par Laure

D’abord, ce colis arrivé aujourd’hui, encore des cadeaux ! de la vanille Bourbon en direct de la Réunion, des livres qui font envie et des CD tout autant. Merci merci merci !

 

Puis toujours ces ptites bestioles… Mais c’est qu’elles grandissent bien vite ! Voilà qu’elles commencent à marcher, à jouer, à se laver…à trois semaines à peine, et que leur mère part déjà roucouler auprès des mâles dans les jardins, malheur !

 

Demain c’est le retour des grands. Anne-Claire est arrivée à Paris ce soir, et son frère y débarquera aux aurores par train de nuit. Déjà elle me raconte par téléphone combien c’était bien et combien elles ont pleuré sous la tente la veille du départ ces 6 filles qui ne se connaissaient pas il y a quinze jours. Et quand je pense qu’il y a 6 mois encore, ils ne voulaient pas entendre parler de colo mes grands ! Mais je leur faisais confiance pour que ça se passe comme ça…

 

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Mon bel amour - Frédéric Poincelet

2 Août 2006, 08:31am

Publié par Laure

Une BD un peu déroutante car ça ne ressemble pas à la BD : pas de cases, des toutes petites bulles blanches avec une écriture patte de mouche, et des grandes pages au papier lourd et épais, au fond kaki clair et des dessins au trait très fin. Voilà pour la forme.

Pour l’histoire, des couples. Qui nous sont présentés simplement par le dessin avant même la page de titre. Avant que le scénario commence. Après, ce sont des tranches de vie, ou plutôt, des tranches d’émotions. Des amours déçues, des ruptures, du plaisir sexuel qu’on devine,  des larmes qui perlent délicatement au coin des yeux d’un homme, une femme qui accepte d’abord de regarder un porno avec son compagnon, puis qui s’en va. Un homme qui ne reconnaît plus la femme qu’il a aimée. Une autre qui se trouve trop grosse et qui se compare à toutes celles croisées dans la rue : mais pour son homme elle ne ressemble à aucune autre, et elle est parfaite comme cela !

 

C’est un livre d’émotions retenues qui pourtant réussit à faire passer avec délicatesse tous les moments et sentiments d’une vie de couple. On doute toujours de soi, de l’autre, de son attachement. Les têtes de chapitres sont extraites des journaux d’André Gide. C’est un bel album intimiste au trait fin, déroutant, surprenant en tout cas. Mais est-ce encore de la BD ?

 

Certains diront avec raison que l’album est cher (28 €), mais c’est l’occasion de faire un beau cadeau aux passionnés, à ceux qui aiment la ligne d’ego comme X (petite maison d’Angoulême), ou d’aller visiter votre bibliothèque !

 

A lire aussi : La critique d’Evene.

 

Ego comme X, 2006, 170 p. ISBN 2-910946-55-X, prix : 28 €

Ma note : 4/5

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